3 marathons : 3 aventures ! Olivier, Noureddine & Antoine se lancent

Le hasard fait que trois collègues se lancent sur ce printemps dans l’aventure d’un marathon :


- Celui de Chinon, qui aura lieu le 7 avril prochain pour 0livier Ballard, 50 ans, Concepteur, réalisateur en environnement IBM
- Celui de Poitiers, qui aura lieu le 14 avril pour Noureddine Sellami, 49 ans, Concepteur, réalisateur, développeur IBM i
- Celui de Nantes, qui aura lieu 21 avril pour Antoine Tessier, 47 ans, Consultant SAP Business One


Les week-ends du mois d’avril vont être bien chargés !


Cette épreuve par sa difficulté de réalisation ainsi que de préparation fascine et impressionne toujours et reste une leçon de vie. Cette démarche a valeur d’exemple vertueux !


Avec leur complicité, nous vous proposons de partager leurs motivations, leur actualité de préparation, leurs efforts et progrès, leurs doutes, leur cheminement mental, ...

Pourquoi ce défi (ou cette folie) ?

Avril approche à grands pas. Olivier, Antoine et Noureddine poursuivent leurs préparations. Avant d'en savoir davantage sur ces dernières et leurs entrainements, découvrons tout d'abord leurs motivations et objectifs.

Olivier, Concepteur, réalisateur en environnement IBM :

Bien qu'Olivier ait de bonnes capacités naturelles à courir, il est avant tout un cycliste aguerri. La course n’est pas son sport de prédilection. Son projet de marathon date d’il y a 4 ans, stoppé net par le covid. Ce marathon est une grande première, un « défi hyper intéressant. C’est l’inconnu mais je suis confiant. »

Olivier exprime avec humour que son objectif n’est pas sur le chrono. Le challenge est de boucler ce premier marathon dans de bonnes conditions, ne pas prendre le mur.
« Sincèrement, cela m'embêterait d'aller battre le record de France et d'aller chercher ma qualification olympique pour mon premier marathon. Par bienveillance, je vais le courir en plus de 4h. »

Et pourquoi le marathon de Chinon ? « Car c’est un marathon de printemps : les conditions de préparations hivernales sont plus faciles, pas de chaleur et donc plus de possibilités de créneaux pour les sorties. Par ailleurs, Chinon est proche géographiquement de chez moi, donc plus simple également pour l’aspect logistique. »

Noureddine, Concepteur, réalisateur, développeur IBM i

Noureddine a déjà 8 marathons à son palmarès et sait par conséquent à quoi s’attendre. La course est son sport. Néanmoins, papa comblé de deux enfants depuis 2014, il a un peu moins de temps pour le pratiquer aujourd’hui. En 2023, il décide de s’y remettre plus sérieusement et fait alors le marathon de Poitiers. Pas totalement satisfait de sa course l’an dernier, son challenge est de faire mieux sur cette édition.

« Je n’avais pas suivi une bonne préparation et par conséquent ma course n’a pas été réalisée dans des conditions optimales. Cette année, même si je ne battrais probablement pas mon record de 2012, je compte faire au mieux en moins de 4h. La motivation sera là jusqu’au dernier moment, pas de place pour le doute. »

Et pourquoi le marathon de Poitiers ? « Pour la situation géographique, cette course est proche de chez moi, ce qui simplifie tout logistiquement et financièrement parlant. » Noureddine ajoute en riant « Par ailleurs, 2 places pour le Futuroscope sont offertes à chaque participant ! »

Antoine, Consultant SAP Business One

Antoine est un coureur de fond. 10 ans de course et 7-8 marathons à son actif ! Il court toute l’année, qu’il fasse beau, qu’il pleuve ou qu’il vente ! Antoine fait partie d’un club ce qui lui permet d’avoir des moments prévus et réservés dans la semaine. Il a couru le marathon de Paris en 2021 en 3h11. Depuis, il a fait celui de Nantes et de Rennes.

« La course m’a toujours plu, je pratique ce sport en loisir depuis longtemps. Le marathon est un défi personnel, j’essaye de faire toujours mieux, raison pour laquelle je retourne régulièrement sur les mêmes parcours. »

Et pourquoi le marathon de Nantes ? « Cette année sera mon troisième marathon de Nantes. C’est un marathon de printemps, la préparation est moins difficile physiquement que les marathons d’automne, mais j’apprécie notamment ce dernier pour sa proximité géographique. »

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